Le prix du matériel
Je sais que l’aspect matériel vous plait, vous êtes plusieurs a me l’avoir dit et je le vois aussi dans mes statistiques. Bien que nous soyons en Polynésie, je note que nous avons quelques technophiles alors j’en profite.
Le matériel est aujourd’hui un élément à ne pas sous estimer pour le photographe professionnel. Je pense même que le matériel est encore plus important ici qu’en métropole par exemple.
Le taux d’humidité et la chaleur mettent à rude épreuve l’électronique mais pas uniquement.
L’idée de cet article m’est venu… aujourd’hui. En effet, la semaine passé, j’ai du matériel qui a cassé. Pas d'électron,ique, simplement des pas de vis qui ont cédés, certainement bien plus rapidement que la normal à cause du sel.
Aujourd’hui, même raison mais c’est un trépied cette fois qui me lache. Pourtant, aillant grandi en Polynésie, je prends très soin de mon matériel, dry cabinet au bureau et à la maison pour mettre le matériel toujours dans de bonnes conditions par§s utilisation. Je fais régulièrement des nettoyage en surface du boitier et des objectifs et parfois, quand nécessaire, je nettoie mes capteurs plus en profondeur.
J’investi très régulièrement dans de nouvelle optique, de nouveaux boitier ou du matériel de prise de vues divers ainsi que dans le matériel d’entretien.
Le photographe professionnel passe une grosse partie de ce qu’il peut gagner dans l’acheta de materiel. En tant que professionnel, je me dois d’être à la pointe pour répondre au besoin de mes cleints. Cela à un cout non négligeable. Il faut l’intégrer dans les tarifs proposés.
L’usure du matériel est plus rapide en Polynésie qu’ailleurs. Je le disais, la température, le sel et le taux d’humidité accélèrent le vieillissement des tous les photographes.
Il faut être prévoyant pour ne jamais être pris au dépourvu, toujours pouvoir assurer les prestations et n’en entendu vous fournir des photos de qualité.
A titer d’exemple, j’ai 2 caissons pour mon appareil photo, plusieurs objectifs couvrant les mêmes focales, plusieurs appareil, des cartes SD en nombre et du stockage en tera pour ne rien perdre. ET tout cela à un cout qu’il faut impérativement intégrer pour pouvoir suivre la cadence du roulement du matériel et continuer le métier de photographe sur Tahiti et ou Moorea sans encombre.
